

Le Projet
Avant de vous expliquer concrètement ce projet, je tiens à poser une chose essentielle : ce que vous allez lire ici, c’est ma vision. Ce n’est pas une demande figée, ni un dossier institutionnel. C’est ce que moi, je vois possible. C’est ce que je ressens comme étant cohérent, puissant, réalisable. Je le pose ici, simplement, pour qu’on puisse le mettre sur la table.
Je ne sais pas exactement jusqu’où vous pouvez aller, ni ce qui relève ou non de votre ADN. Je ne sais pas si ce type de projet — centré sur un personnage visuel, imprévisible, radical mais lucide — entre dans vos cadres, ou s’il peut justement les faire évoluer.
Mais aujourd’hui, je m’autorise à vous le partager tel que je le vis. Sans filtre. C’est ce que j’ai en tête, ce que je suis prêt à porter, ce que je crois capable de faire vibrer. À vous maintenant de me dire si, quelque part, vous reconnaissez cette énergie. Et si elle mérite qu’on la transforme ensemble, en histoire réelle.
Le projet est simple...
Un sportif différent
Un atelier / studio
des défis
Des documentaires
Construire ensemble
Une strategie
Gagnant-gagnant
Une équipe
C’est un sportif qui ne peut pas acheter son matériel tout fait.
Il a des contraintes physiques uniques.
Alors il imagine ses propres solutions.
Chaque défi commence par une envie → un rêve → une idée.
C’est ici que tout devient concret. Une idée prend forme, un problème cherche sa solution. On dessine, on fabrique, on ajuste. Chaque prototype est une passerelle entre une envie de sport extrême et la possibilité réelle de le vivre. Mais cet atelier n’est pas qu’un espace technique, c’est aussi un studio. Tout y est filmé, documenté, raconté. C’est un lieu brut, fonctionnel, mais pensé pour l’image. Un endroit où la performance commence bien avant le jour du défi.
Chaque défi, c’est une vraie vidéo Red Bull. Pas un clip, pas une mise en scène, mais un exploit authentique. Il faut un sportif, des aptitudes, du matériel sur-mesure, et des heures d’essais, de réglages, de répétitions. Jusqu’à ce que tout soit prêt. Le résultat, c’est une vidéo qui ne s’oublie pas. Une vidéo qui dure, qui traverse le temps, qui marque une génération. Par sa grandeur, par son “jamais vu”, par sa technicité brute. À la croisée entre performance humaine et invention mécanique. Comme Candide Thovex dans ses descentes sans neige. Comme Robbie Maddison surfant une vague en moto. C’est exactement cette ligne que je vise : des images que personne n’attend, mais que tout le monde retient.
Tout est filmé. Chaque étape, chaque moment. De la première idée posée sur papier jusqu’aux essais sur le terrain. L’atelier devient un lieu de captation permanent. On enregistre les dessins, la fabrication, les ajustements, les entraînements, les tests, les échecs, les moments de doute. Tout ce qui ne se voit jamais dans une vidéo classique.
Mais rien n’est publié avant le défi. Tant que la performance n’est pas accomplie, tout reste secret. On laisse monter l’attente. On laisse parler l’image finale. La vidéo du défi sort, marquante, propre, pure. Elle est autonome. C’est elle qui frappe en premier.
Et ensuite seulement, on ouvre les coulisses. On partage le processus. On montre les problèmes rencontrés, les idées bricolées, les solutions techniques inventées pour rendre l’impossible possible. Ces séquences sont diffusées petit à petit, dans les semaines et les mois qui suivent. Comme un documentaire épisodique.
Et pendant que le public découvre tout ça, nous, on est déjà ailleurs. On est déjà en train de réfléchir, de tester, de fabriquer pour le prochain défi. Le projet ne s’arrête jamais. Il avance en continu, défi après défi, vidéo après vidéo.
Je ne suis pas là pour faire du buzz. Ce que je propose, c’est de construire quelque chose de fort, de structuré, de cohérent. Un projet réel, avec une vision claire, des moyens concrets et une portée mondiale.
Ce projet, je ne peux pas le porter seul. J’ai les idées, l’histoire, les compétences techniques et l’engagement total. Mais pour que ça prenne une vraie dimension, il faut un partenaire capable d’ouvrir les bonnes portes, d’assumer l’ambition, et de construire avec moi. Pour moi, ce partenaire, c’est Red Bull.
Je crois à la puissance d’un bon binôme. Vous avez vos forces : l’accès, la mise en image, la stratégie, le réseau. Moi, j’ai la matière brute, la différence, le terrain, l’obsession du détail, la capacité à faire. Et je pense qu’ensemble, avec de l’exigence des deux côtés, on peut créer quelque chose de fou.
Je ne cherche pas un logo sur une vidéo. Je cherche une vraie collaboration. Une relation solide, réfléchie, construite autour de défis uniques, d’une narration forte, et d’un personnage qu’on invente ensemble pour marquer les esprits.
Ce projet fonctionne parce qu’il est réel. Il ne part pas d’une idée marketing, ni d’un storytelling fabriqué. Il part d’une réalité vécue, d’un besoin concret. Je suis un sportif avec un mode de vie atypique, et pour continuer à avancer, je dois créer mes propres solutions. Cette nécessité devient un moteur. Elle devient un projet. Elle devient une série de défis, une ligne visuelle, une source d’inspiration.
Ça fonctionne parce que c’est humain. On ne suit pas un concept, on suit une personne. Une personne qui n’a pas choisi son point de départ, mais qui a décidé de tracer sa propre route. On montre ce que c’est de construire sa vie autrement. De réfléchir à chaque geste. De contourner les normes. Et surtout, de continuer à rêver malgré les contraintes.
Ça fonctionne parce qu’il y a du sport. Du vrai. Pas du sensationnel vide, mais des disciplines extrêmes, techniques, engageantes, où tout est préparé, testé, encadré. Chaque défi est pensé. Chaque mouvement est calculé. Chaque prise de risque est maîtrisée. On ne fait pas de la performance pour impressionner : on en fait parce que c’est parfois la seule manière d’avancer.
Et sur le plan stratégique, c’est limpide. Pour moi, il est plus simple de sauter d’un avion et d’atterrir en parapente au milieu d’un pique-nique en montagne, que de monter ce même chemin en fauteuil. Il est plus simple de grimper une éolienne par corde, de rouler dessus et de sauter en base jump, que de gravir les marches une par une. Il est plus simple de prendre un quad et de sauter au-dessus d’une maison avec une rampe de 20 mètres, que de franchir un escalier en centre-ville.
Alors oui, ma vie passe par des chemins extrêmes. Pas pour faire le show, mais parce que ce sont les plus logiques. Et si ces chemins-là permettent de faire naître des images fortes, alors allons-y à fond. Parce que ça, c’est du vrai. C’est du pur. C’est ce que je vis.
Aujourd’hui, si on me regarde dans la rue, c’est souvent juste parce que je suis assis. Moi, je préfère qu’on me regarde pour ce que je fais. Pour ce que je construis. Pour les défis que je relève. Et si pour ça je dois marquer une phrase dans mon dos, alors je le fais. Une phrase qui percute, qui interpelle, et surtout, qui redirige. Une phrase qui donne un lien direct vers ce que je fais vraiment. Pour que ceux qui me croisent puissent me retrouver, comprendre ma démarche, voir les vidéos, suivre les projets. Et constater par eux-mêmes que derrière cette silhouette assise, il y a une vraie trajectoire.
Je n’ai pas fait l’école classique. J’ai fait l’école de la vie. Et surtout, j’ai fait l’école des défis. C’est ça, ma formation. C’est ça, ma méthode. Et c’est avec ça que je viens vous voir aujourd’hui.
Au fond, ce projet, c’est un échange. Un vrai. Un deal clair, humain, puissant. Moi, j’y gagne un atelier, du matériel, une forme de stabilité, et surtout, une autonomie. Pas une autonomie sociale ou médicale : une autonomie réelle. Le droit de vivre pleinement.
Parce qu’il faut le dire : aujourd’hui, vivre normalement, ce n’est pas simple pour moi. Traverser une flaque peut devenir un problème. Le sable fin de Zanzibar est beau, mais je ne peux pas y aller. La visite de la Tour Eiffel en ascenseur, c’est pratique, mais ce n’est pas une expérience. Alors je transforme ces limites. Je réfléchis, je fabrique, j’invente. Et je vis autrement. Avec du matériel, avec mes proches, avec une équipe. Ce matériel, ce n’est pas du confort : c’est ma liberté. C’est ce qui me permet de vivre, mais aussi de réaliser mes rêves. Pas des rêves d’un accidenté, des rêves d’enfant. Des rêves que je porte depuis toujours.
Et vous, de votre côté, vous y gagnez aussi. Vous n’êtes pas juste en train de sponsoriser un projet. Vous êtes en train de permettre à une trajectoire humaine, visuelle, technique et extrême d’exister. Une trajectoire qui peut devenir une image forte pour vous, à tout moment. Parce qu’un gars qui saute d’un avion avec un fauteuil et qui atterrit sur la ligne de départ d’un Grand Prix de Formule 1, avec une voile Red Bull au-dessus de lui, je suis convaincu que ça fait sens. Je suis convaincu que tous les regards se tourneront là-dessus. Pas pour le fauteuil. Pas pour l’accident. Mais pour le geste, la scène, l’image. Parce que c’est du jamais vu. Parce que ça marque. Parce que c’est inspirant. Parce que c’est différent.
Je peux devenir un vrai coup marketing. Mais bien plus que ça : je peux devenir un personnage Red Bull. Actif. Réactif. Incarné. Pas pour une opération. Pas pour une saison. Pour toute une vie de défis.
Je suis lucide : ce projet ne peut pas exister seul. Moi, j’apporte la vision, l’énergie, les idées, la technicité, et l’engagement total. Mais autour de moi, il faut une équipe solide. Deux amis d’enfance me suivent déjà. On fabrique, on teste, on soude, on réfléchit. On parle la même langue. On est efficaces. Mais il est aussi évident qu’il faut d’autres compétences. Quelqu’un pour filmer. Quelqu’un pour monter, organiser, structurer. Quelqu’un pour faire rayonner, gérer le marketing, les contacts, les publications. Et cette équipe, je suis prêt à la créer, à la structurer, à la porter. Ce que je cherche, ce n’est pas de tout faire moi-même. C’est de faire bien, avec les bonnes personnes.
Les Défis
Je ne vais pas vous présenter ici un catalogue de défis. Ce n’est pas l’objectif. Mais je veux que vous compreniez la direction. Le type d’images que j’ai en tête. Le niveau de technicité, de précision, de narration que je peux atteindre — si j’ai les moyens, l’atelier, et les bonnes conditions.
Je me vois par exemple en haut d’une éolienne. Je m’y suis hissé à la corde, après des semaines d’entraînement, avec un système pensé sur-mesure. Une fois là-haut, je suis dans mon fauteuil, posé sur la pale à l’horizontale, suspendue dans le vide. Et je roule. Lentement, concentré, le long de la pale, avec le soleil qui se lève derrière. Tout est silence. Tension. Et là, je me jette dans le vide. Une seconde suspendue. Puis le claquement sec d’une voile Red Bull qui s’ouvre. Une image forte. Une trajectoire qui commence.
Je me vois aussi grimper une montagne à flanc de falaise, avec un vélo électrique que j’ai fabriqué moi-même. Il n’existe nulle part. Il est pensé pour moi, pour ce terrain, pour ce projet. Arrivé au sommet, porté par la joie d’être là, je prends une bosse installée à cet effet, je lance un backflip, toujours avec ce vélo. Et dans la continuité, j’ouvre une voile de parapente et je redescends en survolant les reliefs, proche du sol, pour des images tendues, puissantes, vraies. Et si tout est bien calé, je suis même capable d’atterrir sur mon bateau.
Je me vois aussi sur l’eau, avec une planche de kitesurf que j’ai conçue et construite. J’avance dans un décor turquoise, je saute, je tire des bords. Puis je me rapproche d’une zone de vagues. Là, je largue volontairement ma voile. Je tombe à l’eau. Et un jet ski Red Bull surgit, me tend une corde, me tracte. Je me relève, je glisse de nouveau. Il me propulse jusqu’à une vraie vague. Et là, je lâche le palonnier. Et je surfe. Vraiment. Avec ma planche, sur l’océan, seul.
Ce type de défi, je peux en imaginer des centaines. Parce que j’ai grandi dans le mouvement, dans l’analyse du corps, dans la précision du geste. Le sport n’est pas un ajout dans ma vie. C’est un réflexe, une langue maternelle. Ce qui me manque, ce n’est pas l’idée. Ce n’est pas la motivation. Ce n’est même pas la capacité. C’est l’accès. L’accès aux lieux, à la technique, à l’équipement. Parce que le matériel, dans mon cas, il n’existe pas encore. Et c’est justement pour ça que je le fabrique.
Aujourd’hui, je ne veux plus dépendre de ce qui manque. J’ai appris à construire ce qu’il me faut. J’ai le temps. J’ai l’énergie. J’ai la vision. Ce qui me manque aujourd’hui, c’est l’atelier pour produire plus vite, c’est une structure autour pour filmer, transmettre, faire rayonner. C’est les moyens pour aller dans les lieux qui comptent, pour donner à ces défis la force qu’ils méritent. Je suis prêt à y consacrer ma vie, mais pour franchir ce cap, j’ai besoin d’une alliance. Parce que ces défis sont réels. Parce qu’ils sont faisables. Parce qu’ils sont puissants. Et parce qu’avec vous, ils peuvent devenir inoubliables.
Conclusion
Comme vous le voyez, ce projet est bien plus qu’une proposition de partenariat. C’est une trajectoire. Une vision. Une manière de vivre, de créer, de transformer les contraintes en moteurs. Ce que je vous présente ici, c’est différent de ce que vous avez l’habitude de voir. Mais c’est réel. C’est ce que je vis. C’est ce que je pose aujourd’hui, en espérant que ça fasse sens pour vous.
Je ne suis pas venu avec un dossier ultra-pro, ni avec un site Internet parfait. Ce n’est pas mon domaine. Moi, je viens du terrain, des outils, de l’image brute, des défis vécus. Ce que j’ai voulu faire ici, c’est me concentrer sur les textes. Sur les idées. Pour que vous puissiez comprendre qui je suis, d’où je viens, ce que je propose, et ce que je cherche à construire.
Je n’ai pas pu vous montrer toutes les images. J’en ai des milliers. Mais ce que je vous propose va bien au-delà de quelques vidéos. Ce que je vous propose, c’est une vie. Une expérience. Une reconstruction. Des compétences uniques. Et des rêves plein la tête, encore et encore.
Tout ce que je viens de poser ici, c’est une base de discussion. Ce n’est pas figé. Ce n’est pas une demande formelle. C’est une invitation à se parler. À réfléchir ensemble. Je ne connais pas bien votre monde, vos contraintes, vos modes de fonctionnement. Mais ce que je sais, c’est que je suis prêt. Prêt à monter une boîte de production s’il le faut. Prêt à structurer. Prêt à m’entourer. Prêt à avancer.
Aujourd’hui, ce dont j’ai besoin, ce n’est pas d’un logo. C’est d’un échange. D’une collaboration. D’un partenaire qui voit dans cette trajectoire quelque chose d’unique à construire. Ensemble.
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Merci d’avoir pris le temps de lire mon histoire et mon projet.
À bientôt.
Nicky.